Vue sur la connectique. En haut la sortie eau chaude, au centre arrivée de l'eau chaude du capteur. Attention le départ de l'eau froide vers le capteur doit se faire impérativement avant le groupe de sécurité qui est pourvu d'un clapet anti retour. Sinon le thermosiphon ne se fait pas.
Les différentes idées et articles sont ceux que j’ai récupérés sur certain site et la création de quelques bricoleurs qui fond de la récupération dans les déchetteries ou au abord des routes de notre département.
Actuellement il y a en Guadeloupe un très gros stock de chauffe-eau électriques usagés ou ils sont carrément jetés dans la nature. Je pense qu’il est temps de prévoir un plan de récupération afin de les rendre utile. Par exemple l’utilisation des ballons à eau pour la fabrication d’un réchaud ou d’un barbecue, que nous proposons de réaliser pour vous sur commande.
C'est peut être le modèle le plus simple et le plus résistant à construire. La cuve est située plus haut et on utilise le thermo siphon pour la circulation de l'eau entre le capteur et la cuve de stockage. J'ai récupéré un maximum des matériaux y compris la cuve qui vient d'un chauffe eau électrique vertical qui avait été jeté à tord. La personne pensait qu'il fuyait alors que ce n'était que le groupe de sécurité qui était défaillant. Si une cuve fuit, elle est rouillée dans sa partie basse, c'est un diagnostic infaillible.
Le capteur fait 1 m2 seulement, la cuve est de 100 litres.CAPTEURS
Fabrication classique du capteur avec tôle galva et tubes de cuivre.
Source du site : http://www.h2osmose.com/ecogwada/soleil/chofo/
| Le principe est relativement simple. Une plaque (2) capte la chaleur et la transmet aux tubes collecteurs (3). L'ensemble est maintenu en place par une structure rigide (5). Le capteur est isolé en partie basse (4) et du vent avec une plaque transparente. (1) Le choix des matériaux: c'est fait dans un objectif de facilité de mise en œuvre et de coût réduit tout en gardant des performances élevées. | |
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| 1 | Vitrage en verre de 3 mm ou plaque de polycarbonate | Faible coût et disponibilité. Evitez le PVC car jauni avec le soleil |
| 2 | Tôle ondulée en galva ou cuivre permettant le soudage facile des tubes collecteurs | Recouvert de peinture noir mat |
| 3 | Tubes de cuivre de 16 soudés sur la tôle ou tubes noirs de polyéthylène | Soudure à l'étain pour le cuivre ou collage thermique |
| 4 | Plaques de polystyrène expansé ou laine de roche de récup | Gratuit, bonne durabilité |
| 5 | Cadre en bois, métallique ou intégration à la toiture. | Achetez des plaques abîmées - cher. Bois indestructible |
CAPTEURS
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| 1.1 et 1.2 Tube cuivre / tôle. | ||
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| Il faut au préalable décaper le tube et l'onde de la tôle dans leur partie inférieure à la brosse métallique. Le tube est plaqué avec une série de parpaings. | On dispose des 2 cotés du tube un brin continu de soudure à l'étain. La chauffe se fait au gaz avec une buse semi circulaire. Par gravité la soudure fondue reste au fond de l'onde. | La tôle se déforme sous l'effet de la chaleur mais la liaison tube plaque est excellente pour la conduction thermique. A gauche tôle en cuivre. Un tube toutes les 4 ondes. |
| La soudure sur la tôle galva est plus homogène et le cordon bien régulier contrairement à celle sur la tôle en cuivre ou l'on remarque des perles d'étain. Ce phénomène est du aux vitesses de refroidissement différentes entre le tube et la tôle. Pour le cuivre il faut appuyer la tôle sur un lit de sable qui ralenti le refroidissement. Profilage Guadeloupe vend des tôles en cuivre .... Vous pouviez récupérer aussi cette partie sur un ancien chauffe –eau solaire usagé | ||
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| 2 CHÂSSIS |
| 2.1 Applique en bois |
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| Plaque de contreplaqué rainuré de 1.22 sur 2.44 m. Lito de bois pour tôle en 40 sur 80. Fixation par vis inox. Fixation du châssis sur la toiture par 6 équerres latérales. | Faire des branchements en escalier pour favoriser la montée de l'eau chaude. |
Adaptation de la cuve
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BRANCHEMENTS
La cuve est coincée sous une avancée de toiture et immobilisé par 2 sangles. Les pentes sont vérifiées et mesurées avec un niveau à bulles. L'arrivée et le départ de l'eau se fait avec du tube polyéthylène souple. Il est aussi facile à poser que du fil électrique et d'un coût bien inférieur aux tubes de cuivre. Ce type de tube va remplacer ceux en cuivre encore utilisés en Gwada. Au niveau de l'alimentation il faut mettre un robinet d'arrêt et un limiteur de pression et ne pas oublier le groupe de sécurité qui s'ouvre si la pression devient trop importante sous la dilatation de l'eau chauffée. Toutes les soudures sont à l'étain..
--Vue sur la connectique. En haut la sortie eau chaude, au centre arrivée de l'eau chaude du capteur. Attention le départ de l'eau froide vers le capteur doit se faire impérativement avant le groupe de sécurité qui est pourvu d'un clapet anti retour. Sinon le thermosiphon ne se fait pas.
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